Né aux premiers temps des hommes, par les sylviles, les karthalas et les maîtres des forges noires afin de refuser la guerre l'art des écus de combat est né comme réponse à la prolifération des lames et des armes que les forgerons ne parvenaient à endiguer. Les rois, la raison emportée par la folie écarlate, se jetaient en des batailes meutrières, pour un peu plus de pouvoir ou de terres. Dans les rangs des armées, délaissant leurs lames les premières ébauches de cet art du combat prirent racine. Il se perfectionna longtemps, les boucliers, n'étant durant longtemps vu que comme des objets décoratifs ne furent pas remarqués or les artisans commencèrent à les travailler, à les doter de fonctions et d'arcanes cachés. Les anciens commandeurs de légions, fuyant les batailles, utilisèrent leur expérience pour enseigner ce combat qui peut se montrer particulièrement redoutable. Il exste pour le combat des écus de la taille d'une rondache comme de celui d'un pavois. S'ils ont mille forme ils ont également mille usages. Les plus puissants des guerriers combattaent avec deux bouclier lourds, rempart contre les hordes ennemies. Les plus grandes des victoires dnas l'histoire de la guerre n'auraiet pu être remportées sans la présence des écus de combat. Cet art ancestral est encore aujourd'hui enseigné jusque chez les maîtres d'armes les plus "vieille école".
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Illustration: Justin Hernandez
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Tag 23 vom inktober 
